À la Boussole, on a parmi nos bénéficiaires pas mal de femmes qui ont vécu des violences dans leur parcours, souligne Élody Croullebois. Ces organismes dénoncent le manque de ressources en français pour aider les femmes francophones victimes de violence.
« Quand on a une femme victime de violence qui arrive à la Boussole, on a n’a pas toutes les ressources pour l’aider […] il faut donner plus de moyens aux structures francophones. » — Élody Croullebois, chargée des communications et du plaidoyer de La Boussole.
